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Avec Planète mer, participez à la protection des milieux marins

Avec Planète mer, participez à la protection des milieux marins

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Planète mer défend la biodiversité marine par la science participative

Planète mer, l’association de protection des milieux marins, qui vous associe aussi !

Zoom aujourd’hui sur la mission de Planète mer, l’association qui vous integre dans son programme de protection des océans et des littoraux

J’ai choisi de soutenir une super association, Planète mer. De vous faire découvrir son action et ce qui m’a attiré chez cette association de défense de l'environnement marin. C’est l’alliance du scientifique au service de la biodiversité des océans, en y incluant l’humain : chacun d’entre nous peut agir grâce au programme BioLit, nous y reviendrons dans un second temps après vous avoir présenté la mission de Planète Mer.
 
Planète mer est une association reconnue d’intérêt général en 2007. La mission que se sont donnés les 2 co-fondateurs de Planète mer, Mathieu Mauvernay et Laurent Debas, est de protéger les océans et sa biodiversité. L’observation aboutit à des conclusions scientifiques, apporte des solutions pour que les générations futures continuent de vivre près d’océans en bonne santé. Cela passe par exemple par la gestion des ressources de pêche avec les pêcheurs. Restaurer avec l’homme, ce que l’homme a endommagé et redonner au milieu marin et littoral toute sa place. 
 

Planète Mer trouve des solutions contre la surpêche, le béton, la préservation des écosystèmes…

 
La surpêche fait chuter les ressources en poissons à grande vitesse, semant la mort des espèces que nous consommons mais créant aussi des dommages parmi les espèces sans intérêt économique. Je suis née en 1974 et penser que plus d’un tiers de la biodiversité marine et 25 % des récifs coraliens ont disparus depuis ma naissance me bouleverse. Nous rejetons mondialement 900 tonnes de plastique dans les océans par heure ! (J'ai dû relire la phrase pour m'imaginer, par heure 900 tonnes ! si si c'est bien écrit ici) Nous bétonnons nos côtes alors que dans le même temps nos océans produisent notre nourriture, régulent le climat, absorbent 30 % de nos GES, produisent 50 % de notre oxygène et de nos traitements contre le cancer… Comme le dit Pierre Rabhi « L’homme est complètement fou».
 
 

Ma minute inquiète ou je vous refile mon anxiété...

L'homme est fou et pourtant j’en fais parti de cette humanité qui me sidère, qui courre à sa perte droit devant. Serions-nous la première (et probablement la dernière) espèce à évoluer contre ses propres intérêts, aveuglément ? Je ne suis pourtant pas attirée par la vie dans une hutte de paille. Alors que faire ? la question est figée devant nous depuis 3 decennies d'immobilisme et de non volonté politique. De quoi avons-nous besoin réellement ? Au point ou j'en viens même à douter parfois de ce que je fais dans mon petit labo en Vendée.
Je crois pourtant ma démarche sincère, depuis 2012 à formuler des cosmétiques minimalistes, à faire attention à toutes mes matières premières, à ce qu'elles soient agricoles et bio, locales, commerce équitable s'il s'agit d'ingrédients exotiques (peu nombreux dans mes formules), à mesurer mes rejets, à chercher à comprendre les problématiques de recyclage, de réemploi, à adapter à orienter toujours vers le sens qui me semble le, plus louable, à être contrôlée chaque année par Nature et Progrès pour jauger ma démarche sur le plan environnemental, soutenable, social, sociétal et j'en passe. A rendre des comptes, à m'interdire l'usage des ingrédients d'origine naturelle (produits dans des usines cotées en bourse) etc, etc...
Croyez moi on ne demande pas tant de comptes aux firmes multinationales, aux banques, aux investisseurs en bourse, aux fabricants de batteries pour nos voitures toujours plus grosses toujours plus lourdes à faire avancer... Ni à la multiplication de l'offre "grosse" cosmétique qui s'industrialise et communique de plus en plus fort. La com, la com, la com ! Vous n'achetez que ça, de la com ! le mileu de la cosmétique est le plus générateur de green-washing que je connaisse. Chaque jour j'observe tout plein de petits détails que je ne voyais pas toujours à mes débuts et qui me sautent aux yeux...
 
On bouffe com, on s'habille com, on se lave com, on fait com, ça s'appelle la mode, c'est fugace... et puis on jette com on nous le dit, dans le bas jaune ou le bac gris ! Mais on jette ses eppluchures au tas de compost, on élève des poules, on arrose ses 3 plantes avec l'eau froide de la douche ou on fait pipi dedans (la douche). Com com com les autres. J'ai peur que ça n'y change rien hélas
 
Je suis de plus en plus distante et chaque jour, plein de petits détails autour de moi m'étonnent et m'interpèlent. Et dans le même temps que sortent les rapports du GIEC, les Amazon et consorts bétonnent, expédient des masses incroyables de marchandises que nous engloutissons et rendons à la mer, une fois repus.
 

Pardon  On en revient à Planète Mer ?

 
Les solutions seront collectives ou bien l’humanité périra collectivement. C’est aussi pour cela que j’ai créé le système Asso’lidaire. Je veux faire confiance à ces initiatives et les associations les moins médiatisées, les plus scientifiques, sont pour moi celles qui auront plus de leviers efficaces (et moins de com) et je les soutiens donc.
 
Planète mer se distingue par la méthode d’action inclusive citoyenne qu’on appelle aussi science participative. L’océan représente 70 % de la surface de la planète. En France le littoral maritime s’étend sur 5500 km ! Notre pays est donc naturellement au centre de ces préoccupations. Moi-même , installée en Vendée je suis observatrice de changements sur quelques années simplement par mes ballades sur nos magnifiques plages (Quand les hordes de touristes ont disparues !). Les activités humaines ont des impacts, partout dans le monde et dans tous les milieux. Avec Planète mer, vous devenez acteur, l’humain est inclut à la mission. 
 
                                                                                                                                              Sur une plage quelque part en Vendée

De l’argent oui mais pas que… Il y'a aussi BioLit et BioLit junior !

 

Le programme BioLit n’est pas une marque de matelas à base d’algues marines qui vous bercerait vers des rêves océaniques, pas du tout ! le terme BioLit se traduit par BIOdiversité du LITtoral. Avec Planète mer vous pouvez devenir un observateur du littoral et communiquer vos observations aux scientifiques. Cette veille citoyenne est un relais pour faire progresser la science et la connaissance de nos littoraux. Prenez 20 secondes et comprenez BioLit. 

 
C’est donc en partie vous, les vrais gens, simples promeneurs et observateurs (Avec les hordes de touristes ou sans c'est vous qui voyez) qui permettez aux scientifiques de faire émerger les bonnes décisions de préservation de nos côtes. 
 
Et le meilleurs c’est que ce système de science participative s’adresse à tous, adultes comme les plus jeunes puisque BioLit Junior s’adresse aux écoles et collèges, 1 minute pour comprendre, amis enseignants et juniors, c’est pour vous !
 
Mais si vous pensez que votre action ne peut aller jusqu’à l’investissement en temps (ce que je comprends, étant pas mal occupée), vous pouvez soutenir directement l’association Planète Mer par un don auprès de l’association par la plateforme helloasso.com 
 
Par asso’lidaire, tout en faisant vos achats sur mon site, vous reversez 10 € (sans ajout de votre part) à Planète mer, chaque fois que votre achat dépasse 100 €. Un autre moyen original de faire un don en conscience mais sans action supplémentaire de votre part.
Je vous invite à découvrir un peu plus Planète mer et ses actions en suivant les liens proposés ci-dessous, partout en France
 
 
 
 
 
 
Voilà, après le zoom du mois précédent sur l'action de l’aventurier Geoffrey Roy  j’espère que vous avez découvert ou redécouvert une façon intelligente de faire de la science et de soutenir une mission d’intérêt général, la préservation de nos milieux marin et littoraux.
 
Merci pour vos soutiens à Planète Mer et pensez à me dire si mes articles vous intéressent et à réagir, merci !
Sidonie
 
Crédits photographiques : site Planète Mer + collection personnelle Sidonie Champagne


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